• Heyyy! En faite je suis juste là pour me plaindre, car j'ai aucun autre endroit pour le faire x) J'ai essayé sur mon compte insta (de manga) mais c'était un peu gênant de voir qui avait vu ma story et donc me voila de retour sur mon fidèle compagnon depuis tant d'années, mon blog x) Non mais sérieusement je suis tombée sur des articles sur mon blog où je me plains pour riiiien c'est si triste. Du coup je vais continuer !! 

    Bref. 

    J'EN AI MARRE DE SES PTN D'EXAMENS QUI M'ENLEVENT MES VACANCES DE NOEL ET QUI ME METTENT VRM DANS UN ETAT D'EPUISEMENT MENTALE /BURN OUT. 

    yes, ça c'est dit. 

    Non mais sérieusement, j'ai commencé l'unif et j'aime bien mais pourquoi est ce que j'ai 9 PTN D'EXAMENS APRES NOEL?

    Elles sont ou mes vacances? Et combien de temps je vais devoir faire ça au juste? 5 ans? 10 ans?  J'ai pas signé pour ça moi. 

    Alors oui je ne suis pas la seule dans ce cas et j'ai bien conscience que c'est très puéril de se plaindre pour ça mais j'en ai vraiment besoin, j'ai besoin de le crier très très fort pour extérioriser tout ça vous voyez? Et comme je peux pas crier, je l'écris ici. 

    9 PTN D'EXAMENS ILS ONT CRU QUE J'ETAIS UNE MACHINE?!!!!

    Yes c'est cool l'unif! Nan ramenez-moi à l'école svp, je fais déjà une dépression de l'avoir quitté (oui, j'avais pas du tout envie de finir), faut pas en rajouter une couche non plus. 

    J'EN AI MARREUUUUUH.

    Omd je suis sensée avec 18 ans moi? Quand je relis ce que j'ai écrit j'ai l'impression d'en avoir 12. Même 8. 

    Oh mais c'est bon je m'en fiche, c'est pas ma faute si j'en peux plus. 

    En plus j'ai des idées de romans et je peux pas les concrétiser car j'ai pas le temps. Oui je sais, c'est juste quand je peux pas que j'ai envie d'écrire, ça va pas besoin d'en rajouter j'ai compris. 

    M'enfin, je vais quand même essayer de mener à bien cette fin d'année et ces ptn d'examens (rien que d'écrire le mot je suis fatiguée et je rigole même pas)

    Je suis désolée pour vous d'avoir lu ces lignes, vraiment. 

    Oh mais en faite je doute que y'a encore bcp de gens sur ekla donc je parle sans doute dans le vide! j'assume. Un jour peut-être, dans 120 ans, quelqu'un tombera sur cette archive. Et je le plains. <3

    Choco


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  •  

    Hiver été automne printemps,

    les saisons s'inversent

    Un souffle, un vent, une brise diverse,

    une vie d'avant

     

    Sauter dans le vide est trop demandé? 

    Quand la vie offre tant de rose 

    Pourquoi vouloir sourire noyé?

    Trop heureux de l'overdose

     

    Et les rêves sont choquants,

    Et les cris insignifiants,

    Et dans nos mains que de l'argent,

    Plus de promesse d'une vie d'avant,

     

    La glace devant, je contemple,

    Tête à l'envers, pieds sur le plafond,

    On s'amuse en tuant le griffon,

    Finira-t-il accrocher sous le temple? 

     

    Les phrases commencent par des points,

    Les fins sont majuscules,

    Et si cela vous semble magistrale,

    C'est que vous ne les avez encore rejoint,

     

    Dans cette folie de l'inversion,

    De la décadence du genre roi,

    De la disgrâce des lois 

    Plus rien ne tournera rond.

     

    écrit le 31 janvier 2019 

    ChocoAngel

     


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  • Lorsque les fleurs s’épanouissent 

    Et que les fruits murissent,

    Je les regarde, toujours enchaîné,

    Sans pouvoir les sentir ni les effleurer,

     

    Que j’ai mal, que j’ai froid, que j’ai faim!

    Interminablement prisonnier de ces confins! 

    Que je suis las, que je suis brisé,

    A prier la fin de mon éternité ! 

     

    Du haut de ma punition,

    J’entends une triste chanson, 

    Mes yeux reflètent la dure réalité,

    Du bonheur qui m’a échappé,

     

    Et je pense alors aux miens

    Maintenus dans le lointain,

    Dans un endroit sombre et froid, 

    A jamais. Le roi ne les libèrera pas.

     

    Mon fardeau est son bonheur, 

    Son rire est mon malheur,

    Et nous sommes condamnés, 

    Pour avoir défendu nos idées, 

     

    Parfois je ne peux contenir mes larmes, 

    Pour mes compagnons d’armes,

    Alors du ciel naît des milliers de perles d’eau, 

    Fruit de tous mes sanglots,

     

    Misère ! Tous les dieux sont contre nous! 

    On nous traite de traîtres, de monstres, de fous! 

    Ils ont dans leur mains le fil de nos destins, 

    Mais ils ignorent notre chagrin avec dédain, 

     

    Sur terre, la nuit est à présent tombée 

    Pourtant ma tâche n’est pas terminée,

    Toujours debout, toujours à porter, 

    Leur monde, leur félicité.

     

    La miséricorde des dieux n’est que mensonge, 

    Alors une fois de plus je tombe dans mes songes, 

    Attendant le jour où la puissance du soleil,

    Transformera mes larmes en arc en ciel. 

     

    ChocoAngel, Aout, 2021


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  • Lorsque que la lune est masquée par une couche de nuages,

    Des gouttes d'eau salées décident de s'épanouir, 

    Et sur l'étendue sablée on distingue alors un langage, 

    Aussi universel, il ne peut s'évanouir, 

     

    En plongeant dans cette eau salée,  

    On découvre ce qu'elle contient, 

    Et je doute que vous voulez vous y noyer, 

    Car pourquoi ressentir un mal Achilléen ? 

     

    Pourtant, certains y plongent en dépit du risque fatal, 

    Alors par les eaux maudites ils sont touchés.

    Le besoin de s'y immerger était-il à ce point vital ?

    Ou était-ce la preuve de leur cupidité? 

      

    Neptune! Eclaire-nous, invoque ton châtiment! 

    Fais enfin payer à ces ignorants!

    Explique leur ce que signifie cette eau du tourment

    Tout ce malheur dans un seul océan!

     

    Maintenant que vous y avez plongé, noyez vous!

    Noyez vous dans les pleurs, la douleur et le désespoir,  

    De tous ces dieux devenus fous, 

    En contemplant vos déboires.

     

    Et peut-être qu'au large du Styx vous comprendrez enfin, 

    Que le sourire d'un moment est votre pire châtiment,

    Hélas! L'heure s'est écoulée. Ô défunts!

    Qu'il fait froid dans l'hostilité de ce néant.

     

     

     


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  • Aujourd’hui je m’en vais conter

    L’histoire de la fin d’une ère

    Une histoire tellement désolée 

    Que même les dieux pleurèrent 

     

    Un jour, l’océan pacifique abrita 

    Une terre paradisiaque aux mille saveurs

    Même Mars refusa d'y mener ses combats

    De peur d'y créer des malheurs 

     

    Le peuple pacifique était fascinant: 

    doté d’une rare intelligence, il créa

    Si bien que le ciel du continent, 

    D’instruments éblouissants, se peupla 

     

    Mais au delà des océans, l’envie et la jalousie, 

    Les fadaises et les songes 

    Alimentèrent les esprits

    De toutes sortes de mensonges

     

    Ils se retournèrent contre eux

    Roi et reines, gouverneurs ou chefs militaires,

    Ainsi défiant la parole des dieux

    ils commencèrent la plus grande des guerres

     

    Le continent perdu était encerclé

    Ses habitants condamnés

    Leur terre allait bientôt être foulée 

    Par des envahisseurs acharnés

     

    Un soir de lune rouge et de ciel noir

    Le soir avant la fin des fins

    Le grand mestre trouva une échappatoire 

    Pour préserver l’honneur de leur jardin

     

    La mer accepta non s’en en être attristée, 

    Et le ciel créa la tempête de leur libération

    Les natifs se rejoignirent pour prier et chanter,

    Sans oublier que c’était la seule solution

     

    Au petit matin l’envahisseur cru rêver

    À la place du continent des milles saveurs

    Le vide d’un océan rebellé

    Et un gout amer de douleur

     

    Un continent disparu sous la mer 

    Il y a des siècles de cela

    Emportant une civilisation entière 

    Dans la douleur et l’anonymat 

     

    16/04/2019

    ChocoAngel


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